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Quand j’ai commencé à parler de code éthique avec mes collaborateurs, j’ai vu le visage du chargé d’innovation changer de couleur, il devait se dire « mais que fais tu avec une telle idée ? » Lui qui à l’habitude de parler chiffre, image, marketing, trouvait étrange ce terme de « code éthique ». Etait-ce un code de conduite « business » ou un code de conduite interne ? Et que vient faire l’éthique dans tous ça pour une société travaillant sur le transfert technologique lié au développement durable de la zone Euromed ?

Cela me paraissait pourtant tellement logique de parler d’éthique dans un business de développement durable. Il ne faut pas oublier que l’éthique est un mot datant de l’antiquité et traduisant des vertus ; aussi bien chez Socrate que ses disciples,  Platon et Aristote.

« Quel bonheur ce serait si le savoir était une chose de telle sorte que de ce qui y est plus plein, il pût couler dans ce qui est plus vide. » Socrate

Ces trois philosophes pensent que l’éthique permettrait de réaliser pleinement la nature et ce qui constitue la nature humaine, pour atteindre le bonheur.

Descartes ajouta même après, que l’éthique est fondée sur la morale, dans un sens beaucoup plus individuel.

Avec l’effondrement des différents systèmes capitalistes depuis quelques années, de chutes des bourses, de crises économiques répétitives, de révolutions arabe, contre le système de la corruption & l’injustice sociale, ainsi que des catastrophes naturelles causées par les changements climatiques (tremblements de terre, Tsunami) et leur conséquence sur l’économie locale, le business éthique peut-il être un bon modèle économique ? Peut-il construire un système vertueux, capable de générer un profit équitable ? De procurer une satisfaction personnelle ? De retrouver un bonheur pour une humanité perdu de sens morale et de partage ?

Pour toutes ces raisons, je trouve qu’un code éthique pour une société comme l’IES est tellement logique. Pour moi, il s’agit d’un guide qui clarifie notre vision du business sur une région où les interventions s’établissent sur des zones touchées par des bouleversements géopolitiques et révolutionnaires. Ce qui nous engage à créer de réels partenariats, et j’insiste sur des partenariats technologiques et culturels qui permettraient de créer un système économique & durable capable de développer les formations locales en impliquant des universités et laboratoires de recherche, et par la suite, de développer des entreprises locales qui émergeront pour devenir des « champions locaux ».

Ce qui peut faire qu’un pays du Nord devienne un « Co développeur » est un partage de savoir qui permettra de créer un pilier essentiel pour le développement d’un système efficace de partenariats technologique de pointe dans le domaine de l’environnement.

La vision habituelle des pays du Nord en arrivant sur les marchés des pays du Sud est avant tout,  le développement de plateformes de production de produit technologiques qui seront vendus en série sur les deux rives à des prix compétitifs. Dans ce système de raisonnement, la probabilité de durabilité est inversement proportionnel au gain immédiat : c’est à dire forte rentabilité pour l’entreprise, durabilité nulle et gains associés locaux faibles.

Mais, à titre d’exemple, une durabilité d’avenir ne serait-elle pas d’arriver avec une innovation technologique verte bénéfique pour améliorer le quotidien environnemental des besoins des pays du Sud, en partenariat avec les décideurs et collaborateurs locaux ? Induisant par conséquence une période d’adaptation plus longue mais qui permettrait de bâtir un partenariat solide et pérenne.

Oui pour un système de partage équitable et responsable.

Oui pour une technologie verte capable d’améliorer notre quotidien et d’amener un système prospère Nord-Sud.

Oui pour un regard optimiste des nouvelles générations d’élites qui émergent pour construire un avenir de paix et un regard d’ouverture vers l’autre.

la fondatrice

 

Depuis le début de l’année, le film français « the Artist » n’arrête pas de faire parler de lui. Enchaînant les succès dans les évènements internationaux le plus réputé, Oscar et César, un hommage au cinéma muet, une consécration à une ancienne forme de dialogue corporel, en employant l’importance des gestes des personnages plus tôt que le langage parlé habituel.

« The Artist » remet au goût du jour cette forme de communication de plus en plus perdue au 21° siècle, siècle des nouvelles technologies de communication (TIC) avec l’émergence d’internet, des Smartphones qui nous encouragent, voir nous orientent, à une forme de communication écrite, incessante au travail comme dans la sphère privée.

Sommes-nous dans une désespérance de mode de communication actuelle, un vrai retour à la simplicité du passé ?

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